Il y a les cinq terres, les cinq continents, le club des cinq, les cinq doigts de la main et puis – ou avant c’est selon – peu importe oĂą nous arrivons dans cette liste interminable, il y a nous NOUS CINQ.
À la source de notre pentagone, nous deux d’abord, puis eux: jamais deux sans trois.
Je n’ai jamais aimé les nombres pairs. Je trouve mon équilibre dans ce qui n’est pas tout à fait symétrique. Cela me permet de trouver des appuis, inventer des géométries variables, séparer les binômes en assembler de nouveaux, toujours redéfinir notre forme qui s’apparente toujours à un cœur.
Je suis pleine de gratitude de leur avoir transmis ma passion du voyage, comme ils me transmettent Ă leur tour, tout ce qui les anime.
Et je savoure chaque instant de ce périple, qui nous a rassemblé l’espace de quelques semaines avant de nous propulser à nouveau dans nos vies fulgurantes: dispersés dans l’espace mais jamais dans le cœur, ni dans le temps. La vie c’est maintenant.
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